Notre nature est étroitement liée à la nature du Créateur
Notre nature est étroitement liée à la Nature de l’Univers, du Créateur, qui est régie par l’Amour. Nous nous garderons bien de la décrire, parce que nous ne savons d’elle qu’une chose: elle se communique à l’humain. Cet Amour, dont l’amour du prochain est un dérivé, est la structure de base du système qui tient l’Univers en équilibre jusqu’aux plus lointaines galaxies. Il a le rôle fondamental de tout.
Nous avons beaucoup à transformer en nous de nos manques d’amour, d’intolérances, de grossièretés, de préjugés, etc. Certes, on peut toujours se justifier de mille manières face à la montée de la violence, de la cruauté, de l’inconscience. Mais, répondre avec le même souffle de haine, ne changera en rien l’histoire du mal qui s’éternise.
Alors, l’humain qui fait le choix d’aimer, dégage de la nuit et de la poussière des millénaires, des forces que l’humanité n’est plus capable d’envisager. Cet humain qui se libère absolument, commence à vivre tout à la fois pour lui et pour les autres. Il aime sa famille et le monde sans frontières, sans le barrage des nationalités, sans autre loi que la conscience pour distinguer le bien du mal.
L’amour évangélique, amour de devoir sans limite, est le levier puissant et idéal pour changer notre monde (Rév d’Arès 28/7). Ce n’est pas un amour sentimental mais une sagesse, une force puissante qui transforme totalement le matériau humain.
À l’aléatoire et éphémère de ce monde, le Créateur de l’Univers nous propose depuis la nuit des temps, de restaurer le jardin édénique, générations après générations. Alors soyons aussi nombreux que possible à nous extirper du béton que le Mal a fait de notre humanité.
Nous vous invitons à recréer pleinement le lien disparu entre la Source et l’humain pour revivre dans l’éclat de la Lumière de la Vie qui s’étend à l’infini.
Nous sommes simplement des femmes et des hommes s’évertuant à retrouver l’amour et appelant les autres à retrouver cet amour, non dans une perspective sentimentale ou morale, mais dans une perspective de changement de vie (Rév d’Arès 30/11).