Je suis au milieu de tous ceux réunis en mon nom pour accomplir Ma Parole depuis toujours et jusqu’à Mon Jour. (La Révélation d’Arès, 40/4)
Il y a 2000 ans, le prophète Jésus est crucifié, parce que son message d’amour déplaît et dérange les puissants, qu’ils soient politiques ou religieux. Gandhi, Martin Luther King et bien d’autres hommes furent également assassinés pour les mêmes raisons.
Le message d’amour, de paix, de liberté du prophète Jésus, que vous pouvez lire dans le Sermon sur La Montagne (Évangile, Matthieu 5 à 7), propose une nouvelle voie pour l’homme, celle du bonheur qui ne se mesure pas en années, mais en éternité (La Rév. d’Arès, 36/23).
Aujourd’hui, ce message n’est toujours pas accompli. Voilà pourquoi le Créateur envoie Son Messager Jésus à Arès en Gironde. Celui-ci apparut en 1974 dans sa chair transfigurée et ressuscitée pour parler à Frère Michel.
La Révélation d’Arès rétablit le fond du prophétisme de Jésus. À savoir que c’est toute femme ou tout homme qui change sa vie en Bien, quoi qu’il pense ou qu’il croit et même s’il ne croit pas, qui se sauve et ainsi contribue à changer le monde (La Rév. d’Arès, 28/7), donc à le sauver.
En s’efforçant d’accomplir le Bien, en étant pénitent, nous reformons en nous l’Image et Ressemblance (Genèse 1/27) de notre Créateur. La foi arésienne est existentielle, vraiment chrétienne au sens où Jésus recommandait l’ascension vers une existence autre.
Par le seul effet du bien accompli en nous-mêmes par la pénitence, nous créerons, au fil des générations, un autre monde sans révolutions, sans démocratie qui soumet les minoritaires aux majoritaires, sans frontières ni nations. Nous engendrerons une humanité dans l’interfécondité et non dans la rivalité des différences. Être libre ne sera plus être libre légalement ou théologiquement aux dépens d’autres humains. L’individualisme, le nationalisme, le mépris, la rivalité, l’envie, l’esprit d’exploitation auront disparu. Le commerce des produits et du travail sera naturellement équitable. Les droits de l’homme ne seront plus une règle ou une convention, mais la nature même des relations humaines.
Oui, la pénitence reconstitue l’homme dans son entièreté avec l’humanité, la nature, l’Univers. L’homme redevient l’enfant de l’Univers, du Père de l’Univers (La Rév. d’Arès, 12/4). La pénitence est la source de l’âme. Le Bien peut triompher du mal, et c’est dans l’âme qu’il trouve sa puissance. L’âme est Dieu en l’homme.
Lorsque l’homme fait de sa foi un matériau libre de tout a priori et préjugé, elle devient vivante, ce qui était typique du christianisme simple et vrai de Jésus.
C’est à la résurrection de l’humanité aimante et équitable, à l’immortalité qui s’ensuivra, que nous croyons en cette période pascale. Alors, comme Jésus, mettons nos pas dans les Pas du Père (La Rév. d’Arès, 2/12).
La lumière du Bien ne dépend pas du Créateur mais d’une relation entre l’homme et son Créateur.
Nous, Pèlerins d’Arès, sommes des Chrétiens au sens simple du Sermon sur la Montagne (Évangile, Matthieu 5 à 7). Notre foi est d’accomplissement comme celle de Jésus. Aimez votre prochain, pardonnez, faites la paix, soyez libres de tous préjugés, ravivez l’intelligence spirituelle, bref, devenez pénitent, et vous ferez plus pour le monde et pour vous-même que ne font politiciens et religieux.
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