LE SIGNE: Édition du Cinquantenaire
De 1974 à 2024, le Message reçu surnaturellement à Arès (Bassin d’Arcachon, Gironde, France), sera nommé par le témoin Michel Potay: La Révélation d’Arès. Pour l’édition du cinquantenaire, il l’intitulera Le Signe (XLIV/5). Il y travaillera durant plusieurs mois. Une fois de plus, il décrit les évènements surnaturels vécus en 1974 et 1977. Puis, face à ce constat que les humains lisent de moins en moins, il choisit pourtant d’écrire pour un monde où la vérité d’un récit n’est plus la condition nécessaire pour accueillir un témoignage transcendant. Force est de constater qu’il dépend beaucoup plus de l’enjeu attaché au sens du témoignage.
« … sous un texte d’apparence religieuse, jamais communication surnaturelle n’a posé la question de la Vie (de l’Éternel, de Dieu, du Père, etc.) et de ses liens avec la vie humaine, du destin de l’Univers (12/4) et de la liberté de l’homme de façon aussi profonde. Jamais nous n’en avons su aussi peu sur Dieu, mais nous n’avons jamais été aussi sûrs de son existence et aussi proches de lui. » Michel Potay

C’est dans la nuit du 15 janvier 1974 que Michel Potay se retrouvera face à Jésus transfiguré, ressuscité. C’est ainsi, qu’un jour sur deux, le prophète Jésus lui parlera jusqu’au 13 avril. L’épreuve est bouleversante ! L’Évangile donné à Arès (1ère partie du Message) est diffusé par le témoin telle quelle, sans annotations. Mais lorsqu’il vit avec angoisse, que la variété des interprétations débordait de l’inévitable variété des sensibilités humaines, et touchait au délire de gloses (Le Signe 10/10) innombrables et illimitées, il y ajouta ses annotations. Sans elles, le Message aujourd’hui ne serait plus qu’un brouillard où s’agiteraient les ombres d’interprétateurs sans limites.
Puis, du 2 octobre au 22 novembre 1977, le Créateur de l’Univers se manifeste cinq fois, (Théophanies) dans une conflagration surnaturelle visuelle et sonore extraordinaire. La surprise du témoin est totale et son épreuve si dure que l’émotion et la perturbation causées quatre ans plus tôt par l’apparition de Jésus lui semblent comparativement douces. Lorsque le Père, la Vie parle, le flux est complexe, il y a le son de la Voix mais également la pénétration d’un parler silencieux. C’est un langage qui ne sollicite pas que l’ouïe, il y a quelque chose d’autre qui pénètre par la peau, par l’esprit, par les entrailles, et qui fait du témoin un récepteur complet, absolu, du Message divin. C’est une communication plus par le sens que par les mots. C’est pourquoi Le Livre (2ème partie du Message) a besoin également des annotations et des parenthèses du témoin. Le Surnaturel vécu par Michel Potay n’a pas les mots qui permettraient de le décrire, ils n’existent pas ! Tous les éléments de l’évènement dans son entièreté, furent physiquement visibles, audibles, sensibles, mais tout était autrement que ce qui est physiquement visible, audible, sensible dans notre monde terrestre. Comme il le dira : « Je n’ai pas de mots pour décrire ce que j’ai entendu et ressenti alors » et « J’ai essayé de faire comprendre cela en écrivant entre parenthèses ce qui entrait en moi par mon être entier sans parenthèses ce qui entrait par mes oreilles, encore que ce ne fut pas toujours dissociable ».
Pour la première fois, sur la longue route des prophètes, la Parole du Père, de la Vie, est restituée dans son intégralité par le prophète Mikal ainsi nommé par le Créateur de l’Univers. Les premières années, il l’imprimera et la diffusera lui-même. Il s’est énormément soucié de transmettre ce Message d’une façon qui, quoique difficile à lire, soit tout à la fois honnête et à la portée du plus grand nombre de lecteurs. Au fil des années il écrira, parlera (Le Signe 33/10) léguant ainsi à l’humanité un enseignement d’une richesse incomparable !
Le Signe est dans son entière substance un Souffle d’Amour. Le Père, la Vie, nous ouvre une porte, c’est le travail de la pénitence qu’est l’action individuelle de réappropriation du Bien. La pénitence qui est une puissance contre le mal, qui prépare le salut de l’humain et ramènera peu à peu l’humanité aux conditions heureuses du Dessein primordial (Le Signe 31/8). Le Père, la Vie nous tend la main pour répandre en soi et dans le monde l’amour, le pardon, la paix, la liberté vraie, l’intelligence spirituelle, pour que la Source, la Puissance sans limite, le Père, la Vie et l’homme, l’étincelle divine, l’image et ressemblance de cette Vie soient enfin réunis !
XXXV/17 Je suis la Mine (et) l’Eau.
XXVII/5 Je suis la Force,
la Force est dans le frère (comme) dans l’homme mauvais.