Et le virus du manque d’amour on le guérit quand?
Le mal qui a envahi le monde est beaucoup plus préoccupant qu’un virus. Le mensonge, la méchanceté, le vol, l’égoïsme, le manque d’Amour tuent beaucoup, beaucoup plus qu’un virus. Ils tuent au hasard des innocents, des femmes et des hommes bons comme celles et ceux qui sont méchants et mauvais.
Vaincre le mal commence par vaincre la peur du mal et particulièrement la peur de la mort. La peur de mourir pour préserver la vie charnelle marque la civilisation dominante. Pour le matérialiste, ce qui se passe entre naissance et mort est tout. La mort est la fin, le mur au-delà de quoi l’homme ne va pas. La peur de la mort est une sorte de peur du vide, qu’il souhaite faire reculer le plus loin possible, quitte à perdre le sens de l’infini et de l’éternel, auxquels il ne croit pas d’ailleurs.
Frères humains, que vous soyez croyants ou non, quittez la civilisation du plus fort, de son dogme ou de sa loi, et restaurez la civilisation du Bien. Le Bien est au-delà de tout ce que ce monde de mal peut redouter aujourd’hui. Ce monde qui rétrécit l’esprit et fait de l’homme un captif. L’extrême diversité même des humains, de leurs vocations et de leurs besoins, montre qu’ils sont des créatures faites pour la liberté. Les hommes ne retrouveront le Bien que libres.
L’humanité peut accéder à un état de bonheur et d’intelligence (La Révélation d’Arès, 32/5) spirituelle par le seul exercice de l’Amour. L’humanité est capable de ce dépassement contrairement à ce que prétendent les rationalistes et même les religions qui estiment que l’homme est irrémédiablement mauvais et n’est sauvé que par la pratique religieuses ou la loi. C’est à recréer l’homme et le monde que la Parole d’Amour, redonnée à Arès en 1974 et en 1977, nous appelle comme elle les créa elle-même au commencement (Genèse).
Aimer, c’est agir avec sagesse, agir en créateurs. La Révélation d’Arès nous demande de rétablir cet Amour créateur oublié par les uns, jamais mis à exécution par les autres. Il est dû à tous les hommes par tous les hommes, indépendamment de tout sentiment et de toute morale. C’est un amour de devoir.
N’importe qui, croyant ou non, peut installer le Bien dans son cœur par l’amour. Alors, quelque soit le continent, la couleur de votre peau, la façon dont vous priez ou ne priez pas, votre statut social, votre façon de vivre, etc., nous vous proposons de créer un monde où les nations s’embrassent. Un monde où l’homme ne soumet plus l’homme. Un monde ou la paix, le pardon, l’intelligence spirituelle, celle du cœur, deviennent les ingrédients inébranlables et constants de tous nos actes quotidiens qu’ils soient d’ordre privé, sociétal, économique. Nous savons que ce lent travail de pénitence (bonification intérieure) prendra plusieurs générations mais la patience est un acte d’amour également.
Aimez-vous les uns les autres, mettez un masque, évitez d’embrasser, de serrer la main, bref, prenez des précautions pour que la vie continue comme avant en attendant que passe ce petit virus (covid-19 en 2020), parce qu’il passera de toute façon. Rendons l’amour plus contagieux qu’un virus !