Ne sentez-vous pas que vous êtes fait pour quelque chose de plus GRAND et SUBLIME
Depuis des millénaires, l’humain a oublié qui il est, d’où il vient, quelle est sa véritable vocation, sa véritable raison de vivre. Il a fini par avoir une fausse idée de lui-même et de ce qui l’entoure : il a un égotisme gigantesque, un orgueil inouï, et paradoxalement il ne croit pas en lui et pense qu’il ne peut rien faire pour changer le cours des choses ou il s’accommode de ce qui est. Il a abandonné sa conscience, sa vie aux pouvoirs, qu’ils soient religieux, politiques, financiers, bref, au système qui sévit partout sur notre planète, quelle que soit sa forme. L’humain a inventé un système terrible, qui le fait souffrir et le tue, dans lequel il s’est lui-même enfermé et dont il ne sait plus comment sortir. Mais, il y a toujours espoir ! Vous sentez peut-être déjà en vous, qu’une autre vie est possible, que vous appartenez à quelque chose de grand, de sublime. Oui, vous n’êtes pas votre propre univers, vous êtes le participant d’un univers immense. Vous êtes même un dieu potentiel, parmi 8 milliards de dieux potentiels qui s’ignorent !
L’humain ne réalise pas qu’il a délaissé sa capacité créatrice et qu’ainsi, il se dénature, il se rabougrit, alors qu’il est fait d’une essence fondamentalement créatrice, divine, donc spirituelle. Il a oublié qu’il est image et ressemblance (Genèse 1/26-27), et donc partie intégrante de cette Vie (Rév. D’Arès, 24/3-5) qui crée sans cesse (aussi appelé Dieu, Allah, Énergie, etc. Peu importe comment on le nomme ou si on ne le nomme pas).
C’est pourquoi le Père-Mère est revenu frapper aux portes de nos consciences en 1974 et 1977 à Arès (Gironde). Il nous rappelle que nous pouvons nous délivrer de la prison mentale, sociale et sociétale dans laquelle nous nous sommes enfermés. Il nous montre que nous pouvons aller au-delà de nos croyances qui sont souvent sources de rejet de celui qui ne croit pas de la même façon. Ce n’est pas que vous croyez qui importe, mais ce que vous faites ! Le Père-Mère nous appelle à nous détacher de nos croyances pour nous mettre au Bien actif, qui est d’aimer (Rév d’Arès 25/4), de pardonner, de faire la paix et de recréer l’intelligence du cœur ou intelligence spirituelle (Rév. d’Arès,32/5) qui ne peut vivre que libérée de tous préjugés.
Finalement, le Message du Père-Mère n’a qu’un sens : tout vient du Ciel par l’Amour, tout bonheur sur Terre est dans l’amour, tout doit retourner à l’Amour. Il existe quelque part dans l’humain quelque chose de grand et de sublime. Cette grandeur spirituelle fait partie de lui et il ne tient qu’à lui de la réveiller. Même si les chances de réussite forment un labyrinthe dont l’issue est difficile à trouver, elle existe en tout homme ! Il n’y a que la force de l’amour inconditionnel pour chacun, peu importe qui il est, qui fera renaître cet état intérieur spirituel, divin, qui dort dans chaque humain.
Alors, ne vous résignez pas à la médiocrité, à la laideur, ne soyez pas convaincu que vous n’y pouvez rien. Ne croyez pas que notre monde est complet, achevé, tel qu’il est. Une autre vie est possible ! Le monde est à recréer (Rév. d’Arès, 28/7), et sa recréation commence par votre propre recréation. Rappelez-vous, vous êtes un cocréateur aux côtés de la Vie qui est partout, y compris en vous. Nous portons, en chacun de nous, les possibilités d’un monde où l’amour est la source de toute chose, où le bonheur général n’est plus un rêve mais une réalité vécue.
Réinventez-vous ! En vous réenfantant en tant qu’être spirituel, actif dans le Bien, vous commencez à recréer le monde.
Vous ouvrez les portes à la Vie !